J'ai une nouvelle autre théorie. Mais c'est toujours la faute à la société (trop facile pour s'en priver
)...
1) les bébés (tous mammifères confondus), quand ils sont stressés ils demandent à téter. On a donc une tendance innée à manger pour anesthésier ses émotions.
2) A force d’ingurgiter que les repas sont à heures fixes, qu’il faut manger tel ou tel aliments, que tel autre est une saloperie, on se stresse avec quelque chose qui aurait dû rester naturel : se nourrir.
3) On essaie d’oublier LA FAUTE (la malheureuse saloperie !), et du coup le cerveau ne l’enregistre pas, ne nous signale pas qu’on est satisfait, et on continue jusqu’à ce que se soit l’estomac qui stoppe.
Finit ton assiette, mange ceci, mange pas ça, etc. Et on s’étonne qu’on ait perdu l’instinct de manger ce dont on a besoin ??
Mon copain a toujours eu coca, gâteaux, chocolats, etc dans son enfance. Aucun jugement ou critiques négatives avec la bouffe. Aujourd’hui pour lui, ce n’est toujours que de la nourriture, Il ne lui viendrait pas à l’esprit de manger sans faim ou sans fin. Et en cas de stress il va plutôt épuiser ses émotions dans la fatigue du sport.
Je ne sais pas comment sa mère a fait pour pas le fausser avec la relation à la nourriture, mais si je trouve je vous préviens, promis !